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glozel-authentifie-cela-change-tout
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glozel-authentifie-cela-change-tout
GLOZEL : entre Atlantes et Gaulois ?
glozel-authentifie-cela-change-tout - Ecritures énigmatiques 3
bolas-Glozel
Une des pièces maîtresse trouvées à Glozel est une petite sculpture en ronde bosse, dite du "Chasseur ", ou du "Chaman" (ci-dessous). Tenant un épieu dans sa main droite, il est campé de ses deux pieds sur le ventre d'un animal expirant. La macrophotographie révèle autour du cou deux colliers, dont l'un est composé d’éléments sphériques, les fameux "hochets" ou "bolas" qui avaient tant intrigué le monde archéologique. L'homme est assurément ici dans une nudité rituelle, et le collier flottant, à symbole mammaire, une évocation au culte primordial, originel, de la Grande Déesse Mère.
Depuis plus de 90 ans, les objets trouvés dans une tranchée bouleversent le monde de la préhistoire.
Le lieu-dit de Glozel est à une vingtaine de kilomètres au sud-est de Vichy, au bord de la D495 Cusset/Ferrières-sur-Sichon. Situé dans les montagnes du Bourbonnais chargées de légendes et haut lieu de l'histoire, Glozel est peut-être la clef qui ouvrira la porte du mystère des origines du monde ou du moins des origines de notre civilisation et du courant migratoire des hommes.
Le samedi 1er mars 1924, Emile Fradin, 17 ans, laboure en compagnie de son grand-père, Claude Fradin, un champ dit ‘Duranthon’ (dérivé de durant, signifiant endurant, endurci. Ajoutons que ‘duranger’ vient d'élan, de renne, animal qui existait sur le territoire français à une époque lointaine). Il s'agit d'une parcelle plus ou moins incultivée.
Tout à coup, une des deux vaches tirant la charrue trébuche et s'enfonce en partie dans la terre. En la dégageant, le grand-père et le petit-fils découvrent une cavité, dans laquelle ils distinguent un squelette et des poteries. Ces dernières sont extraites, puis cassées : ils espèrent découvrir un trésor ; ils n'y trouvent que de la terre. Claude Fradin se souvient que le précédent propriétaire du terrain avait trouvé, en creusant à proximité pour enterrer une bête, un vase décoré. Un vase inscrit fut découvert par le métayer qui les avait précédé quand il voulut enfouir une de ses bêtes morte. A la fin des années 1880, des poteries furent détruites pendant le défrichage d'une parcelle de la ferme.
Tout à coup, une des deux vaches tirant la charrue trébuche et s'enfonce en partie dans la terre. En la dégageant, le grand-père et le petit-fils découvrent une cavité, dans laquelle ils distinguent un squelette et des poteries. Ces dernières sont extraites, puis cassées : ils espèrent découvrir un trésor ; ils n'y trouvent que de la terre. Claude Fradin se souvient que le précédent propriétaire du terrain avait trouvé, en creusant à proximité pour enterrer une bête, un vase décoré. Un vase inscrit fut découvert par le métayer qui les avait précédé quand il voulut enfouir une de ses bêtes morte. A la fin des années 1880, des poteries furent détruites pendant le défrichage d'une parcelle de la ferme.
Le lendemain, dimanche 2 mars 1924, Emile Fradin, le petit-fils, revient examiner les lieux et dégage la cavité qui se révèle être une fosse — d'environ trois mètres sur un — dont les parois sont de briques emboîtées les unes dans les autres, et le sol constitué de seize dalles d'argile. Quelques vases, des débris divers et une plaque d'argile portant des signes curieux forment le ‘mobilier’ de ce qui lui paraît être, à cause du squelette, une tombe.
Plan de la fosse au niveau du dallage
- grosses pierres reposant sur les cailloux - "témoins"
- grandes briques du dallage
- murs latéraux
- terre à brique non agglomérée
- grande brique de dallage avec empreinte de main
(d'après un document établi par le Dr Antonin MORLET)
Les jours suivants, d'autres découvertes s'ajoutent aux premières : trois tablettes avec des empreintes de mains, une aiguille en os et des galets comportant les mêmes étranges signes que sur la plaque d'argile. La nouvelle de la mise à jour de la sépulture franchit le hameau, parvient jusqu'au village voisin d’où le curé, le médecin et l'instituteur viennent constater sur place la découverte.
Du champ de labour au ‘Champ des Morts’
Une institutrice, Adrienne Picandet, vient aider aux fouilles. Plus tard, lorsque les polémiques se succéderont, elle témoignera que les toutes premières tablettes d'argile portaient bien des inscriptions ; quarante autres personnes signeront aussi une attestation.
Dès le 20 mars, Adrienne Picandet envoie un rapport à l'inspecteur de l'Académie de Moulins. En date du 15 août 1926, le Mercure de France publie une lettre de mademoiselle Picandet : « En outre de la superbe fosse que monsieur Emile Fradin avait fort bien conservée et dont les murs, recouverts d'un suintement de verre, resplendissaient au soleil, la collection comprenait déjà : deux empreintes de mains, la première brique à signes, deux tranchets, une petite hache, le tranchant d'une hache brisée, de nombreux débris de poteries et plusieurs morceaux de supports de creusets ».
Le docteur Antonin Morlet (1882 - 1965) apprend l'existence de Glozel. Il est passionné d'archéologie, auteur de plusieurs ouvrages et possesseur d'une importante collection d'objets gallo-romains recueillis dans la région. Pour couper court aux manœuvres de détournement et d'accaparement, le docteur Morlet loue aux Fradin le champ ‘Duranthon’ qu'on commence déjà à appeler le ‘Champ des morts’. Certains archéologues, éblouis par la richesse du site, veulent en être les découvreurs, à la place d'un jeune paysan qu'ils jugent inculte, et, dépités de ne pas s'en voir attribuer la découverte, en deviendront de farouches adversaires, allant jusqu'au mensonge et la diffamation.
Le docteur Antonin Morlet (1882 - 1965) apprend l'existence de Glozel. Il est passionné d'archéologie, auteur de plusieurs ouvrages et possesseur d'une importante collection d'objets gallo-romains recueillis dans la région. Pour couper court aux manœuvres de détournement et d'accaparement, le docteur Morlet loue aux Fradin le champ ‘Duranthon’ qu'on commence déjà à appeler le ‘Champ des morts’. Certains archéologues, éblouis par la richesse du site, veulent en être les découvreurs, à la place d'un jeune paysan qu'ils jugent inculte, et, dépités de ne pas s'en voir attribuer la découverte, en deviendront de farouches adversaires, allant jusqu'au mensonge et la diffamation.
Le docteur Morlet procédera à de nombreuses fouilles et restera un ardent défenseur du site et de la famille Fradin. Les plus grands experts - et rivaux - de l'époque, MM. Capitan, l'abbé Breuil, Peyrony, Camille Jullian, Salomon Reinach, Depéret viennent visiter le site.
Une authenticité reconnue
Idoles phalliques bi-sexuées-Glozel
Depéret, doyen de la Faculté des sciences de Lyon, agrégé de géologie et vice-président de la Société géologique de France écrira : « Il ne saurait rester dans l'esprit d'un géologue aucun doute sur la situation parfaitement en place de ce précieux objet et nous pouvons vous donner à cet égard notre attestation la plus formelle (...) Le gisement de Glozel est un cimetière datant de l'extrême début du Néolithique. (...) La présence indiscutable, quoique sans doute très rare, d'un renne figuré à Glozel, s'ajoute à d'autres réminiscences magdaléniennes de l'outillage pour m'amener maintenant à admettre que le gisement de Glozel se rapproche du paléolithique final, avec lequel il s'apparente à la fois par la forme, par l'outillage et aussi par l'écriture ».
« Plus bas, écrit M. Depéret, dans l’argile jaune, tendre, qui contient à la profondeur moyenne de 0 m. 60 à 0 m. 70 la couche archéologique, j’ai recueilli, dans l’argile vierge de tout remaniement, entre autres objets, un beau fragment de tablette à inscriptions alphabétiformes enserré dans une trame de racines et de radicelles d’arbustes aujourd’hui disparus. Cette observation, continue-t-il, est, à mon avis, décisive et implique à elle seule d’une manière irréfutable l’authenticité de la tablette et, par suite, de l’écriture glozélienne. Pour penser autrement, il faudrait supposer qu’un faussaire aurait préparé le terrain en y introduisant des objets il y a au moins vingt ans, temps nécessaire à la croissance et au développement des racines qui entouraient la tablette. L’énoncé seul de cette hypothèse permet d’en saisir l’absurdité. […] ». Source : Jean Piveteau, « A propos de Glozel » Revue de Paris, 1er mai 1928, pages 152-174.www.museedeglozel.com/Corpus/Piveteau.pdf
Joseph Loth (1847 - 1934), professeur au Collège de France depuis 1910, archéologue et spécialiste de l'histoire et de la langue celtique, recommande à Emile Fradin d'installer un petit musée, preuve qu'il croit à l'authenticité et à l'importance de ce qui a été découvert sur le site.
Nous n'entrerons pas dans la description de ce que fut la situation d'Emile Fradin en butte aux mesquineries, aux malversations, aux mensonges et tracasseries diverses occasionnées par les vanités, les égoïsmes et le refus de certaines instances ‘scientifiques’ de réviser non seulement leurs assertions (Emile Fradin fut accusé d'être un faussaire) mais de tenir compte des observations faites par leurs pairs, ou par eux-mêmes - car certains se contrediront -.
Procès en tous genres, même en diffamation, furent finalement gagnés par Emile Fradin, mais perturbèrent singulièrement sa vie, et nuisirent autant à la reconnaissance de son mérite de ‘découvreur’ qu'au fait que soient, à partir des mobiliers découverts à Glozel, envisagées différemment les sources de la connaissance européennes et occidentales.
Nous n'entrerons pas dans la description de ce que fut la situation d'Emile Fradin en butte aux mesquineries, aux malversations, aux mensonges et tracasseries diverses occasionnées par les vanités, les égoïsmes et le refus de certaines instances ‘scientifiques’ de réviser non seulement leurs assertions (Emile Fradin fut accusé d'être un faussaire) mais de tenir compte des observations faites par leurs pairs, ou par eux-mêmes - car certains se contrediront -.
Procès en tous genres, même en diffamation, furent finalement gagnés par Emile Fradin, mais perturbèrent singulièrement sa vie, et nuisirent autant à la reconnaissance de son mérite de ‘découvreur’ qu'au fait que soient, à partir des mobiliers découverts à Glozel, envisagées différemment les sources de la connaissance européennes et occidentales.
L'exigence de la Vérité
couteau-Glozel
Nous ne souhaitons pas, ici, entrer dans des polémiques toujours stériles. Cependant, nous ne pouvons ignorer les propos et l'attitude de ceux qui confondirent leurs intérêts avec ceux de la société qu'ils représentaient, et qui oublièrent ce à quoi leurs fonctions les obligeaient.
Tous les livres que nous avons consultés exposent la même ignominie de la part de scientifiques -vrais ou faux-. Preuve est faite, s'il en était nécessaire, de la faillibilité des hommes, fussent-ils couverts de diplômes, chargés de titres et de notoriété. Le vrai, le véritable scientifique n'oublie jamais la remise en question, démarche indispensable à l'approche de la vérité. L'examen de conscience n'est pas le monopole du domaine religieux. Peu d'hommes reconnaissent leurs erreurs, et publiquement. C'est pourtant là faire preuve de l'honnêteté à laquelle tous prétendent, et dont ils se réclament, face à leurs adversaires.
La science nous confirme constamment, par son évolution, la réalité d'une interdépendance des disciplines, en corollaire avec la réalité de l'univers, visible et invisible. Des hypothèses, certaines d'ailleurs du domaine du rêve -mais outre que le rêve n'est pas interdit, il peut se révéler prémonitoire- ont été proposées par des archéologues, des scientifiques, des dilettantes, hypothèses qui, même si elles n'ont pas été confirmées, même si elles ne correspondent pas aux thèses officielles, n'en sont pas moins dignes d'écoute.
L'oubli officiel est désormais tombé sur le site de Glozel, sur son inventeur -qui est aujourd'hui décédé- et sur les conclusions que l'on se doit d'en tirer. Ne subsistent que l'intérêt et la passion de quelques mordus d'archéologie qui exigent la vérité.
Un silence inexplicable
Représentation animale sur ivoire: Renne blessé, flèche dans la gorge et le cœur
Pourquoi les instances responsables tiennent-elles à ne pas porter à la connaissance du public une découverte capitale ? La prudence se comprend, pourvu qu'elle ne s'accompagne pas d'immobilisme, et d'une certaine malhonnêteté intellectuelle.
Il est exact que les moyens d'investigations ont beaucoup évolué et qu'aujourd'hui nous pouvons dater avec une relative précision, ce qui n'était pas le cas dans les années 30. Des vieillissements peuvent être retardés ou accélérés selon le milieu dans lequel se trouvent les éléments à étudier. Les accidents géologiques aussi bien que climatiques interviennent dans des proportions pas toujours homologuées. La science doit être leçon d'humilité. Aucun homme, fut-il infiniment savant, ne peut prétendre tout savoir.
Il serait temps de reconsidérer le ‘cas Glozel’. Les fouilles qui y ont été effectuées depuis l'incident du 1er mars 1924, qu'elles aient été officielles ou non, révèlent des données qui bouleversent justement des certitudes trop souvent exprimées sans aucun esprit d'objectivité. Voici, brièvement résumé, ce qui a provoqué l'anathème jeté sur Glozel et son inventeur, puis déclenché la loi du silence :
— le renne n'était pas censé vivre sur le territoire français au Néolithique ; avec le recul des glaces, il était déjà remonté vers le Nord.
— L'écriture sous une forme alphabétique n'existait pas encore, au Paléolithique
— Les signes établis avec une volonté de coordination alphabétique provenaient du Moyen -Orient, et dataient du Néolithique.
Or, à Glozel, furent trouvés dans la même tranche de terrain des vestiges qui, selon certaines sommités fortes des acquis de la Science de l'époque, ne pouvaient cohabiter. Sur un galet étaient gravés un renne et une suite de signes s'apparentant à un alphabet. Des os, de l'ivoire, de la terre plus ou moins ouvrée présentaient un même art figuratif, et une écriture.
tube en os, percé et gravé-Glozel
Comme s’il manquait encore quelque chose à notre perplexité, le Matin s’est chargé d’y ajouter : il a dépêché à Glozel deux de ses collaborateurs, MM. Pierre Guitet-Vauquelin et Clérisse. Ceux-ci ont réfléchi : « Si le ‘Champ des morts’ est réellement farci de débris préhistoriques, n'est-il pas vraisemblable qu'en fouillant ailleurs, dans les mêmes parages mais en un endroit que personne, jusqu'ici, n'a exploré, on trouve des vestiges analogues? ». Cet endroit vierge, ils l'ont soigneusement choisi, après quelques tâtonnements, au Sud et en contrebas du gisement classé, à quelques pieds au-dessus de la rivière. A défaut d'érudition préhistorique, ils avaient l'expérience des tranchées, qui leur avait appris à remuer la terre. Ils s'y sont employés courageusement, à la pioche, à la houe et au couteau. Au bout d'une heure, ils dégageaient de la couche archéologique un gros morceau de poterie de grès, puis de nombreux et menus fragments de brique et des morceaux de terre vitrifiée, puis, à 1 m. 35 du front de taille, par 60 centimètres de profondeur, au milieu d'une véritable chevelure de racines drues, un galet noirâtre, elliptique, portant trois signes glozéliens classiques : une barre inclinée, un V très ouvert et une échelle à trois échelons. Ce fut la récolte de la matinée.
Dans l'après-midi, pour écarter toute suspicion de fraude, -car ils étaient allés déjeuner dans l'intervalle-, ils ouvraient une nouvelle tranchée. Ils y déterraient bientôt un harpon cassé, de 6 centimètres de long. Une troisième tranchée leur livrait ensuite d'autres fragments de grès, une pointe en roche volcanique ayant dû servir d'outil à graver et un morceau d'os fossilisé, de 3 centimètres et demi, taillé en pointe. Sans préjuger de la valeur de ces différentes pièces, MM. Pierre Guitet-Vauquelin et Clérisse auraient ainsi fait la preuve, si vraiment leur expérience a été entourée de toutes les précautions de contrôle désirables pour qu'ils n'aient pas été eux-mêmes victimes de « truqueurs », que le sous-sol de Glozel recèle des « témoins » qui n'ont pu être ni fabriqués ni enfouis pour les besoins de la cause.
Le lendemain, les deux fouilleurs se rendaient à un kilomètre et demi de Glozel, à la « goutte » Barnier -en langage local, on dénomme « gouttes » les vallonnements dont la région est semée- et pénétraient dans une grotte souterraine depuis longtemps obstruée à son orifice ; or, ils constataient qu’elle n’avait pas été envahie par la coulée de l’argile, ce qui infirmerait un des arguments invoqués contre l’ancienneté des deux tombes du « Champ des Morts ».
Des découvertes d'objets similaires furent effectuées aux alentours (à Moulin Piat, à 2,5 km au Sud; chez Guerrier, à 3 km sur la rive droite du Vareille; à Puyravel à 10 km en amont, sur la rive opposée).
A l'examen, certaines poteries révélaient une utilisation cultuelle, indice de l'évolution de ceux qui les avaient façonnées. La représentation animale gravée sur différents supports l'avait-elle été dans un but évocateur, votif, chamanique, ou n'était-ce que de l'art pour l'art ?
Personne, jusqu'à ce jour, n'est à même de dater cet ensemble avec cohérence. Le carbone 14 aussi bien que la thermoluminescence ne s'accordent sur les dates. En 1972, des techniciens du Commissariat à l'Énergie atomique ont analysé des tablettes et des objets en os : les tablettes dateraient de 700 avant J.-C. à 100 après J.-C. mais certains objets en os remonteraient à 17.000 av. J.-C. ! 17 millénaires d'écart, du paléolithique supérieur à la Guerre des Gaules dans le même ‘lot’ archéologique.
Seule certitude : il ne s'agit pas d'une supercherie, et Emile Fradin, inventeur du site, n'est pas le faussaire que certains, en mal d'explications, ont dénoncé.
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Des mains de géants
Kathy :-)- L'Archange
- Messages : 2299
Date d'inscription : 18/04/2011
Re: glozel-authentifie-cela-change-tout
Merci c'est intéressant :)
Gordron- Les Puissances
- Messages : 275
Date d'inscription : 03/05/2014
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